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foro mersus

  • 1 forum

    [ABCU]A - fŏrum, fŏri, n.: [st1]1 [-] espace libre, emplacement.    - forum sepulcri, Cic. Leg. 2, 24, 61: vestibule d'un tombeau.    - forum vinarium: bassin du pressoir. [st1]2 [-] place publique, place du marché.    - quid turbae apud forum! Ter.: quel vacarme sur la place!    - forum venalium rerum, Sall.: marché.    - forum boarium (bovarium): marché aux boeufs.    - forum olitorium (holitorium): marché aux légumes.    - forum piscarium (piscatorium): marché aux poissons, halle aux poissons.    - cui multa fora restarent, Cic.: qui avait encore bien des foires à parcourir.    - scisti uti foro, Ter.: tu as su faire tes affaires.    - in foro esse: fréquenter le forum (où se tenaient les audiences judiciaires et les assemblées politiques, où l'on briguait les charges publics). [st1]3 [-] forum (en particulier celui de Rome; un lieu destiné aux assemblées publiques et au règlement des affaires judiciaires ou commerciales); carrière politique, tribunal, cour de justice, barreau, opération de banque.    - in foro turbaque, Cic. Rep. 1, 17: en plein forum, au milieu de la foule.    - in foro dicere, Cic.: faire un discours dans le forum, parler en public.    - verba de foro accipere, Cic.: se servir d'expressions triviales.    - forum attingere, Cic.: se lancer dans les affaires publiques, faire ses débuts au forum.    - forum agere: rendre la justice, tenir audience.    - arripere verba de foro, Cic. Fin. 3, 2, 4: prendre ses mots dans la rue, dans l'usage courant.    - ut forum cum armis conferatis, Cic. Verr. 2: pour que vous compariez les tribunaux et les armes.    - in alieno foro litigare, Mart. 12 praef: plaider devant un tribunal étranger, être désorienté.    - extra suum forum, Cic.: hors de sa juridiction.    - ibi forum agit, Cic.: là, il tient audience.    - in foro versari: s'occuper d'affaires au forum.    - foro decedere, Cic.: ne plus paraître en public, s'éloigner des affaires publiques.    - cedere foro: faire banqueroute.    - provinciae fora: les centres d'assises de la province.    - egomet video rem vorti in meo foro, Plaut. Most.: je vois bien que **ma situation est traitée sur mon propre forum** = que je suis trahi.    - calliditas fori, Tac.: les subtilités de la chicane.    - forum indicere, Virg.: donner des lois, donner une législation.    - foro mersus, Plaut.: abîmé de dettes. [st1]4 [-] bourg indépendant (possédant une juridiction propre). [st1]5 [-] Forum (nom donné à plusieurs villes).    - Forum Alieni, Tac.: ville de la Gaule Transpadane (= Ferrare).    - Forum Appii, Cic.: petite ville du Latium (= S. Donato).    - Forum Aurelium, Cic.: ville située sur la voie Aurélia (= Montalto).    - Forum Julii, Cic.: ville de la Narbonnaise (= Fréjus).    - Forum Cornelii, Cic.: ville de l'Emilie (= Imola).    - Forocorneliensis, e: relatif au Forum Cornelii. [ABCU]B - fŏrum, gén. plur. de foris.
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    [ABCU]A - fŏrum, fŏri, n.: [st1]1 [-] espace libre, emplacement.    - forum sepulcri, Cic. Leg. 2, 24, 61: vestibule d'un tombeau.    - forum vinarium: bassin du pressoir. [st1]2 [-] place publique, place du marché.    - quid turbae apud forum! Ter.: quel vacarme sur la place!    - forum venalium rerum, Sall.: marché.    - forum boarium (bovarium): marché aux boeufs.    - forum olitorium (holitorium): marché aux légumes.    - forum piscarium (piscatorium): marché aux poissons, halle aux poissons.    - cui multa fora restarent, Cic.: qui avait encore bien des foires à parcourir.    - scisti uti foro, Ter.: tu as su faire tes affaires.    - in foro esse: fréquenter le forum (où se tenaient les audiences judiciaires et les assemblées politiques, où l'on briguait les charges publics). [st1]3 [-] forum (en particulier celui de Rome; un lieu destiné aux assemblées publiques et au règlement des affaires judiciaires ou commerciales); carrière politique, tribunal, cour de justice, barreau, opération de banque.    - in foro turbaque, Cic. Rep. 1, 17: en plein forum, au milieu de la foule.    - in foro dicere, Cic.: faire un discours dans le forum, parler en public.    - verba de foro accipere, Cic.: se servir d'expressions triviales.    - forum attingere, Cic.: se lancer dans les affaires publiques, faire ses débuts au forum.    - forum agere: rendre la justice, tenir audience.    - arripere verba de foro, Cic. Fin. 3, 2, 4: prendre ses mots dans la rue, dans l'usage courant.    - ut forum cum armis conferatis, Cic. Verr. 2: pour que vous compariez les tribunaux et les armes.    - in alieno foro litigare, Mart. 12 praef: plaider devant un tribunal étranger, être désorienté.    - extra suum forum, Cic.: hors de sa juridiction.    - ibi forum agit, Cic.: là, il tient audience.    - in foro versari: s'occuper d'affaires au forum.    - foro decedere, Cic.: ne plus paraître en public, s'éloigner des affaires publiques.    - cedere foro: faire banqueroute.    - provinciae fora: les centres d'assises de la province.    - egomet video rem vorti in meo foro, Plaut. Most.: je vois bien que **ma situation est traitée sur mon propre forum** = que je suis trahi.    - calliditas fori, Tac.: les subtilités de la chicane.    - forum indicere, Virg.: donner des lois, donner une législation.    - foro mersus, Plaut.: abîmé de dettes. [st1]4 [-] bourg indépendant (possédant une juridiction propre). [st1]5 [-] Forum (nom donné à plusieurs villes).    - Forum Alieni, Tac.: ville de la Gaule Transpadane (= Ferrare).    - Forum Appii, Cic.: petite ville du Latium (= S. Donato).    - Forum Aurelium, Cic.: ville située sur la voie Aurélia (= Montalto).    - Forum Julii, Cic.: ville de la Narbonnaise (= Fréjus).    - Forum Cornelii, Cic.: ville de l'Emilie (= Imola).    - Forocorneliensis, e: relatif au Forum Cornelii. [ABCU]B - fŏrum, gén. plur. de foris.
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        Forum, huius fori. Sallust. Cic. Le lieu public où on tient le marché, Le lieu du marché, L'apport.
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        Forum boarium. Liu. Le marché aux boeufs.
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        Forum piscarium. Varr. Le lieu où on vend le poisson, La poissonnerie.
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        Forum suarium. Varr. Le marché aux porceaux.
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        Forum vinarium. Varr. Le marché où on vend le vin, L'estappe.
    \
        Foro vti. Terent. Se gouverner selon le temps, Prendre le temps comme il vient, Temporiser, S'accommoder au temps, Selon le marché faire, Se gouverner selon le cours du marché.
    \
        Forum. Quintil. Cic. Le lieu public où on souloit anciennement tenir les plaids. Fore, ou For. Inde Parisiis le For l'evesque, hoc est Forum episcopi.
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        Agere forum. Cic. Exercer acte de judicature, Tenir les plaids, Tenir les assises.
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        Forum attingere. Cic. Commencer à vouloir entendre le maniement de la chose publique.

    Dictionarium latinogallicum > forum

  • 2 forum

    forum, ī, n. (verwandt mit foras u. foris), I) übh. ein »länglich viereckiger freier Raum«, u. zwar: 1) als Vorhof des Grabes, XII tabb. bei Cic. de legg. 2, 61; vgl. Paul. ex Fest. 82, 12. – 2) als Teil der Kelter, wohin man die auszupressenden Trauben (Oliven usw.) legte, Varro r. r. 1, 54, 2. Col. 11, 2, 71. – 3) Plur., fora = fori, die Schiffsgänge, Gell. bei Charis. 71, 30.

    II) insbes.: A) ein längliches Viereck als Marktplatz, Markt, wie sie auch bei den Alten fast in jeder Stadt teils zum Verkehr (Kauf u. Verkauf), teils zu öffentlichen Verhandlungen einer od. mehrere angelegt waren, s. Liv. 23, 19, 18 (Forum zu Präneste), Apul. met. 1, 25 (forum cuppedinis = »Naschmarkt« in Hypata in Thessalien). – ad forum ire, Ter.: rectā per forum redire, Phaedr.: statua Praeneste in foro statuta, Liv.

    Von den Fora in Rom selbst werden am häufigsten erwähnt: 1) als Versammlungsorte übh.: a) das älteste, das forum Rōmānum (Plin. 3, 66. Tac. ann. 12, 24) od. magnum od. vetus, gew. κατ᾽ εξ. bl. forum (Liv. 1, 12, 8; 9, 40, 16. Cic. ad Att. 4, 16, 14 u. sonst oft bei diesen u.a.), eine durch Kunst geebnete Tiefe (154 m lang und 52 m breit), nordwestl. vom Fuße des kapitolin., südl. vom Fuße des palatin. Hügels begrenzt, um das schon Tarquinius Priskus Hallen anlegen ließ (Liv. 1, 35 extr.), zwischen denen dann Kaufleute ihre Buden u. Gewölbe (tabernae), bes. die Wechsler ihre Wechselbuden od. -tische (argentariae od. mensae) aufschlugen; später mit einer Menge öffentlicher Gebäude umbaut u. mit unzähligen Statuen geschmückt, Mittelpunkt des öffentlichen Lebens in Rom, wo der vornehme Römer eine bestimmte Zeit des Tages (vor Tische) zubrachte, um Geld- od. Rechtsgeschäfte abzumachen, an den gerichtlichen Verhandlungen teilzunehmen, Neuigkeiten zu hören u. dgl., aber auch der gemeine Römer sich einfand, um sich von den Vornehmen um seine Stimme angehen zu lassen, bes. aber um den müßigen Zuschauer abzugeben, namentlich gegen Abend, wo Wahrsager u. andere Gaukler auf dem Forum ihr Wesen trieben; vgl. Plaut. Curc. 475 sqq. Macr. sat. 2, 12, 14. Hor. sat. 1, 6, 113 sq. – Nahe an diesem, gleichs. als Erweiterung, lagen, bes. zu gerichtl. Verhandlungen dienend, b) forum Caesaris, von Cäsar angelegt, Suet. Caes. 26, 2. Plin. 16, 236. – u. c) forum Augustī, von Augustus erbaut (Suet. Aug. 29, 1) und mit einer herrlichen Elfenbeinstatue des Apollo geschmückt, Plin. 7, 183. Ov. fast. 5, 552. Ov. ex Pont. 4, 15, 16. Ov. trist. 3, 1, 27 (haec sunt fora Caesaris [sc. Augusti]); bl. forum gen. b. Iuven, 1, 128 (wo Apollo wegen der Gerichtsverhandlungen auf diesem F. iuris peritus heißt). – dah. die Anspielung auf diese drei Fora b. Sen. de ira 2, 9, 4. Mart. 3, 38, 4. Stat. silv. 4, 9, 15. – d) forum Traīanī, von Trajan erbaut, forum, quod (Traianus) aedificavit, Eutr. 8, 5.

    2) als bloße Marktplätze, a) forum bovārium od. boārium, der Rindermarkt, zwischen dem Zirkus Maximus u. dem Tiber, mit einem erbeuteten ehernen Stiere geschmückt (vgl. Ov. fast. 6, 478), for. bov., Varro LL. 5, 146 eod. Goth. Cic. Scaur. 23. Liv. 10, 23, 3; 22, 57, 6 (vgl. Drak. Liv. 35, 40, 8): for. boar., Varro LL. 5, 146 M. Liv. 21, 62, 2. Val. Max. 1, 6, 5 u. 2, 4, 7. Plin. 34, 10. Tac. ann. 12, 24. Paul. ex Fest. 30, 5: vulg. forum bobarium, Not. Tir. 56, 87. – b) forum olitōrium ( holitōrium), der Gemüsemarkt, südl. vom Theater des Marcellus, zwischen dem kapitolin. Hügel u. dem Tiber, wo die columna lactaria stand, an der man die Kinder aussetzte, Varro LL. 5, 146. Liv. 21, 62, 2 u. 4. Tac. ann. 2, 49. Paul. ex Fest. 118, 6. – Dort wohl auch das forum coquīnum, wo die Köche (die zu jedem Gastmahl besonders gemietet wurden) ihre Dienste anboten, Plaut. Pseud. 790. – c) forum piscārium od. piscātōrium, der Fischmarkt, zwischen der basilica Porcia (neben der Kirche di S. Tito) u. dem Vestatempel, Varro LL. 5, 146. Plaut. Curc. 474. Liv. 26, 27, 3 u. 40, 51, 5. Col. 8, 17, 15. – d) forum cuppēdinis, der Naschmarkt, bei den Kornelkirschbäumen (ad corneta) zwischen der sacra via u. dem Macellum, Varro LL. 5, 146 (in einer andern Stadt, Apul. met. 1, 24).

    3) vom Forum (bes. vom Forum Romanum) hergenommene Redensarten, u. zwar a) als Mittelpunkt des öffentl. Lebens: scisti uti foro, du hast gelernt, dich in die Welt zu schicken, Ter.: de foro decedere, sich aus dem öffentl. Leben zurückziehen, nicht mehr öffentlich erscheinen, Nep.: verba de foro arripere, die Worte von der Straße aufgreifen (= sich der Worte des gewöhnl. Verkehrs bedienen), Cic. – b) als Geschäfts-, bes. Wechslermarkt: triduum foro operam dare, sich auf dem Forum herumtreiben (Geldgeschäfte halber), Plaut.: iam triginta annos in foro versari, Geschäfte (als Kaufmann od. Wechsler) machen, Cic.: ratio pecuniarum, quae in foro versatur, auf dem Geldmarkt gang u. gäbe ist, Cic.: cedere foro, bankerott werden, Sen.: u. so foro mersus, bankerott, Sen.: fidem de foro tollere, den öffentl. Kredit vernichten, Cic. – c) als Ort für Staatsverhandlungen, bes. Gerichtsgeschäfte: forum attingere, anfangen Staatsgeschäfte zu treiben, bes. als gerichtl. Redner auftreten, Cic.: u. so in foro esse coepisse, Nep.: forum indicit, heißt sie das Forum zum Mittelpunkte ihrer gemeinschaftl. Angelegenheiten (Gerichte u. Verhandlungen) machen, Verg.: fori tabes, die Pest des Forums (d.i. die auf dem F. als Gerichtsort herrschenden niederen Leidenschaften u. dgl.), Tac.: omne forum (Markt = Volk) quem spectat et omne tribunal, Hor. ep. 1, 16, 57. – Sprichw., in alieno foro litigare, weder ein noch aus wissen (wie der, der vor einem fremden Forum prozessiert, dessen Gerichtsgang ihm unbekannt ist), Mart. praef. 12.

    B) übtr.: 1) ein Handelsplatz, Vaga, forum rerum venalium totius regni maxime celebratum, der besuchteste Handels- u. Stapelplatz, Sall. Iug. 47, 1.

    2) die Gerichts- oder Kreisstadt einer Provinz, wo wegen des Zusammenströmens von Menschen Markttage u. Gerichtshöfe waren; dah. (v. Statthalter der Provinz) forum agere, Gerichtstag halten, Recht sprechen, Cic. – u. dav. Name vieler Städte, von denen bei den gelesensten Schriftstellern (sehr viele bei Plin. nat. hist.) vorkommen: a) Forum Appiī, ein vom Zensor Appius Klaudius angelegter Marktflecken in Latium, an der via Appia (s. Appius), nach einigen j. S. Donato, Cic. ad Att. 2, 10. Hor. sat. 1, 5, 3. Plin. 3, 64 u. 14, 60. Anton. itin. 107, 4. Vulg. act. apost. 28, 15. Corp. inscr. Lat. 10, 6824. – b) Forum Aurēlium, tuskischer Flecken an der aurelischen Straße (via Aurelia), von C. Aurelius Kotta kolonisiert, j. Monte Alto, Cic. Catil. 1, 24. – c) Forum Cornēlium, Stadt der Lingones im zispadan. Gallien, vom Diktator Korn. Sulla angelegt. j. Imola, Cic. ep. 12, 5, 2. – d) Forum Gallōrum, Flecken im zispadan. Gallien, j. Casiel Franco, Galba in Cic. ep. 10, 30, 2. e) Forum Iūliī od. Iūlium, Stadt im narbon. Gallien, von Jul. Cäsar kolonisiert, j. Fréjus, Planc. in Cic. ep. 10, 15, 3 u. 17, 1. Tac. ann. 2, 63: dass. oppidum Forōiūliēnse, Tac. ann. 4, 5, u. colōnia Forōiūliēnsis, Tac. hist. 2, 14 u. 3, 42; ebenso Forōiūliēnsium colōnia, Tac. Agr. 4. – f) Forum Vocōniī, Stadt der Salier im narbon. Gallien, j. Le Luc od. Draguignan (in der Provence), Planc. in Cic. ep. 10, 17, 1. Lepid. in Cic. ep. 10, 34, 1.

    lateinisch-deutsches > forum

  • 3 forum

    forum, ī, n. (verwandt mit foras u. foris), I) übh. ein »länglich viereckiger freier Raum«, u. zwar: 1) als Vorhof des Grabes, XII tabb. bei Cic. de legg. 2, 61; vgl. Paul. ex Fest. 82, 12. – 2) als Teil der Kelter, wohin man die auszupressenden Trauben (Oliven usw.) legte, Varro r. r. 1, 54, 2. Col. 11, 2, 71. – 3) Plur., fora = fori, die Schiffsgänge, Gell. bei Charis. 71, 30.
    II) insbes.: A) ein längliches Viereck als Marktplatz, Markt, wie sie auch bei den Alten fast in jeder Stadt teils zum Verkehr (Kauf u. Verkauf), teils zu öffentlichen Verhandlungen einer od. mehrere angelegt waren, s. Liv. 23, 19, 18 (Forum zu Präneste), Apul. met. 1, 25 (forum cuppedinis = »Naschmarkt« in Hypata in Thessalien). – ad forum ire, Ter.: rectā per forum redire, Phaedr.: statua Praeneste in foro statuta, Liv.
    Von den Fora in Rom selbst werden am häufigsten erwähnt: 1) als Versammlungsorte übh.: a) das älteste, das forum Rōmānum (Plin. 3, 66. Tac. ann. 12, 24) od. magnum od. vetus, gew. κατ᾽ εξ. bl. forum (Liv. 1, 12, 8; 9, 40, 16. Cic. ad Att. 4, 16, 14 u. sonst oft bei diesen u.a.), eine durch Kunst geebnete Tiefe (154 m lang und 52 m breit), nordwestl. vom Fuße des kapitolin., südl. vom Fuße des palatin. Hügels begrenzt, um das schon Tarquinius Priskus
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    Hallen anlegen ließ (Liv. 1, 35 extr.), zwischen denen dann Kaufleute ihre Buden u. Gewölbe (tabernae), bes. die Wechsler ihre Wechselbuden od. -tische (argentariae od. mensae) aufschlugen; später mit einer Menge öffentlicher Gebäude umbaut u. mit unzähligen Statuen geschmückt, Mittelpunkt des öffentlichen Lebens in Rom, wo der vornehme Römer eine bestimmte Zeit des Tages (vor Tische) zubrachte, um Geld- od. Rechtsgeschäfte abzumachen, an den gerichtlichen Verhandlungen teilzunehmen, Neuigkeiten zu hören u. dgl., aber auch der gemeine Römer sich einfand, um sich von den Vornehmen um seine Stimme angehen zu lassen, bes. aber um den müßigen Zuschauer abzugeben, namentlich gegen Abend, wo Wahrsager u. andere Gaukler auf dem Forum ihr Wesen trieben; vgl. Plaut. Curc. 475 sqq. Macr. sat. 2, 12, 14. Hor. sat. 1, 6, 113 sq. – Nahe an diesem, gleichs. als Erweiterung, lagen, bes. zu gerichtl. Verhandlungen dienend, b) forum Caesaris, von Cäsar angelegt, Suet. Caes. 26, 2. Plin. 16, 236. – u. c) forum Augustī, von Augustus erbaut (Suet. Aug. 29, 1) und mit einer herrlichen Elfenbeinstatue des Apollo geschmückt, Plin. 7, 183. Ov. fast. 5, 552. Ov. ex Pont. 4, 15, 16. Ov. trist. 3, 1, 27 (haec sunt fora Caesaris [sc. Augusti]); bl. forum gen. b. Iuven, 1, 128 (wo Apollo wegen der Gerichtsverhandlungen auf diesem F. iuris peritus heißt). – dah.
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    die Anspielung auf diese drei Fora b. Sen. de ira 2, 9, 4. Mart. 3, 38, 4. Stat. silv. 4, 9, 15. – d) forum Traīanī, von Trajan erbaut, forum, quod (Traianus) aedificavit, Eutr. 8, 5.
    2) als bloße Marktplätze, a) forum bovārium od. boārium, der Rindermarkt, zwischen dem Zirkus Maximus u. dem Tiber, mit einem erbeuteten ehernen Stiere geschmückt (vgl. Ov. fast. 6, 478), for. bov., Varro LL. 5, 146 eod. Goth. Cic. Scaur. 23. Liv. 10, 23, 3; 22, 57, 6 (vgl. Drak. Liv. 35, 40, 8): for. boar., Varro LL. 5, 146 M. Liv. 21, 62, 2. Val. Max. 1, 6, 5 u. 2, 4, 7. Plin. 34, 10. Tac. ann. 12, 24. Paul. ex Fest. 30, 5: vulg. forum bobarium, Not. Tir. 56, 87. – b) forum olitōrium ( holitōrium), der Gemüsemarkt, südl. vom Theater des Marcellus, zwischen dem kapitolin. Hügel u. dem Tiber, wo die columna lactaria stand, an der man die Kinder aussetzte, Varro LL. 5, 146. Liv. 21, 62, 2 u. 4. Tac. ann. 2, 49. Paul. ex Fest. 118, 6. – Dort wohl auch das forum coquīnum, wo die Köche (die zu jedem Gastmahl besonders gemietet wurden) ihre Dienste anboten, Plaut. Pseud. 790. – c) forum piscārium od. piscātōrium, der Fischmarkt, zwischen der basilica Porcia (neben der Kirche di S. Tito) u. dem Vestatempel, Varro LL. 5, 146. Plaut. Curc. 474. Liv. 26, 27, 3 u. 40, 51, 5. Col. 8, 17, 15. – d) forum cuppēdinis, der Naschmarkt, bei den Kornelkirschbäu-
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    men (ad corneta) zwischen der sacra via u. dem Macellum, Varro LL. 5, 146 (in einer andern Stadt, Apul. met. 1, 24).
    3) vom Forum (bes. vom Forum Romanum) hergenommene Redensarten, u. zwar a) als Mittelpunkt des öffentl. Lebens: scisti uti foro, du hast gelernt, dich in die Welt zu schicken, Ter.: de foro decedere, sich aus dem öffentl. Leben zurückziehen, nicht mehr öffentlich erscheinen, Nep.: verba de foro arripere, die Worte von der Straße aufgreifen (= sich der Worte des gewöhnl. Verkehrs bedienen), Cic. – b) als Geschäfts-, bes. Wechslermarkt: triduum foro operam dare, sich auf dem Forum herumtreiben (Geldgeschäfte halber), Plaut.: iam triginta annos in foro versari, Geschäfte (als Kaufmann od. Wechsler) machen, Cic.: ratio pecuniarum, quae in foro versatur, auf dem Geldmarkt gang u. gäbe ist, Cic.: cedere foro, bankerott werden, Sen.: u. so foro mersus, bankerott, Sen.: fidem de foro tollere, den öffentl. Kredit vernichten, Cic. – c) als Ort für Staatsverhandlungen, bes. Gerichtsgeschäfte: forum attingere, anfangen Staatsgeschäfte zu treiben, bes. als gerichtl. Redner auftreten, Cic.: u. so in foro esse coepisse, Nep.: forum indicit, heißt sie das Forum zum Mittelpunkte ihrer gemeinschaftl. Angelegenheiten (Gerichte u. Verhandlungen) machen, Verg.: fori tabes, die Pest des Forums (d.i. die auf dem F. als Ge-
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    richtsort herrschenden niederen Leidenschaften u. dgl.), Tac.: omne forum (Markt = Volk) quem spectat et omne tribunal, Hor. ep. 1, 16, 57. – Sprichw., in alieno foro litigare, weder ein noch aus wissen (wie der, der vor einem fremden Forum prozessiert, dessen Gerichtsgang ihm unbekannt ist), Mart. praef. 12.
    B) übtr.: 1) ein Handelsplatz, Vaga, forum rerum venalium totius regni maxime celebratum, der besuchteste Handels- u. Stapelplatz, Sall. Iug. 47, 1.
    2) die Gerichts- oder Kreisstadt einer Provinz, wo wegen des Zusammenströmens von Menschen Markttage u. Gerichtshöfe waren; dah. (v. Statthalter der Provinz) forum agere, Gerichtstag halten, Recht sprechen, Cic. – u. dav. Name vieler Städte, von denen bei den gelesensten Schriftstellern (sehr viele bei Plin. nat. hist.) vorkommen: a) Forum Appiī, ein vom Zensor Appius Klaudius angelegter Marktflecken in Latium, an der via Appia (s. Appius), nach einigen j. S. Donato, Cic. ad Att. 2, 10. Hor. sat. 1, 5, 3. Plin. 3, 64 u. 14, 60. Anton. itin. 107, 4. Vulg. act. apost. 28, 15. Corp. inscr. Lat. 10, 6824. – b) Forum Aurēlium, tuskischer Flecken an der aurelischen Straße (via Aurelia), von C. Aurelius Kotta kolonisiert, j. Monte Alto, Cic. Catil. 1, 24. – c) Forum Cornēlium, Stadt der Lingones im zispadan. Gallien, vom Diktator Korn. Sulla angelegt. j.
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    Imola, Cic. ep. 12, 5, 2. – d) Forum Gallōrum, Flecken im zispadan. Gallien, j. Casiel Franco, Galba in Cic. ep. 10, 30, 2. e) Forum Iūliī od. Iūlium, Stadt im narbon. Gallien, von Jul. Cäsar kolonisiert, j. Fréjus, Planc. in Cic. ep. 10, 15, 3 u. 17, 1. Tac. ann. 2, 63: dass. oppidum Forōiūliēnse, Tac. ann. 4, 5, u. colōnia Forōiūliēnsis, Tac. hist. 2, 14 u. 3, 42; ebenso Forōiūliēnsium colōnia, Tac. Agr. 4. – f) Forum Vocōniī, Stadt der Salier im narbon. Gallien, j. Le Luc od. Draguignan (in der Provence), Planc. in Cic. ep. 10, 17, 1. Lepid. in Cic. ep. 10, 34, 1.

    Ausführliches Lateinisch-deutsches Handwörterbuch > forum

  • 4 forum

    I ī n. [одного корня с foras и foris ]
    1) арх. преддверие гробницы (« vestibulum sepulcri» C) LXIIT
    3) рыночная площадь, городской рынок (f. bovarium или boarium C, L, olitorium L, coquīnum Pl, piscarium или piscatorium Pl, L, cuppedĭnis Vr)
    4)
    а) торжище, центральная площадь, форум (центр общественной, политической, судебной и деловой жизни города)
    f. Romanum PM, T (тж. Magnum или Vetus C, L etc.) — римский форум (на вост. стороне Капитолийского и северной Палатинского холмов; в сев.-вост. его частиcomitium, место народных собраний; к нему примыкали f. Caesăris Su, PM и f. Augusti O, Su, PM, место судопроизводства)
    б) перен.
    in foro versari Cзаниматься торговыми ( или финансовыми) операциями или быть общепринятым на форуме
    f. attingere C (in foro esse coepisse Nep) — заняться государственными (преим. судебными) делами
    f. agere Cчинить суд
    in alieno foro litigare погов. M — выступать в разбирательстве чужого (и незнакомого) дела, т. е. не понимать в чём дело
    5) центральный город провинции, областной центр (civitates in idem f. convenientes C)
    II Forum, ī n.
    1) F. Alieni, город в Цизальпинской Галлии, к юго-зап. от Вероны T
    2) F. Apii, город в Латии, на via Appia C, H, PM
    3) F. Aurelium, город в Этрурии, на via Aurelia C
    4) F. Cornelii, город в Циспаданской Галлии, на via Aemilia, между Бононией и Фавенцией C
    5) F. Gallorum — там же, между Мутиной и Бононией C
    6) F. Julii ( или Julium), тж. oppidum Forojuliense, colonia Forojuliensis, город в Нарбонской Галлии, к сев.-вост. от Массилии (ныне Frejus) T

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  • 5 mergo

    mergo, ĕre, mersi, mersum - tr. - [st2]1 [-] plonger (dans l'eau), submerger, engloutir. [st2]2 [-] au fig. plonger, enfoncer, précipiter dans, engloutir, absorber dans. [st2]3 [-] cacher, rendre invisible.    - inf. prés. passif arch. mergier, Juv.; mergeri, Vulg.    - eos mergi in aquam jussit, Cic. N. D. 2: il les fit plonger dans l'eau (en parl. des poulets).    - aves, quae se in mari mergunt, Cic.: oiseaux, qui plongent dans la mer.    - mersa navis omnes destituit, Curt. 4: la barque sombra et abandonna tous ses passagers.    - quis te, Palinure, deorum medio sub aequore mersit? Virg. En. 6: lequel des dieux, Palinure, t'a noyé en pleine mer?    - corpusque sub aequora mersi, Ov. M. 13: et je plongeai sous l'eau.    - mergere se in voluptates, Liv.: se plonger dans les plaisirs.    - mergi in voluptates, Curt.: se plonger dans les plaisirs.    - mergere censum domini, Plin. 9: engloutir la fortune de son maître.    - mergere aliquem malis, Virg.: plonger qqn dans un abîme de maux.    - malim istius modi mihi amicos furno mersos quam foro, Plaut.: les amis de ton espèce, je préfèrerais les voir plutôt accablés de coups que de dettes.    - vino somnoque mersi, Liv. 41: plongés dans l'ivresse et dans le sommeil.    - mergunt Pelion et templum, Val.-Flac.: ils perdent de vue le mont Pélion et le temple.    - Alexander nondum mersus secundis rebus, Liv.: Alexandre, qui n'est pas encore submergé par la prospérité.    - mersis fer opem rebus, Ov. M. 1: viens au secours de notre profonde détresse.    - mergere vultum, Sen.: baisser la tête.    - mergere lumina, Sen.: baisser les yeux.
    * * *
    mergo, ĕre, mersi, mersum - tr. - [st2]1 [-] plonger (dans l'eau), submerger, engloutir. [st2]2 [-] au fig. plonger, enfoncer, précipiter dans, engloutir, absorber dans. [st2]3 [-] cacher, rendre invisible.    - inf. prés. passif arch. mergier, Juv.; mergeri, Vulg.    - eos mergi in aquam jussit, Cic. N. D. 2: il les fit plonger dans l'eau (en parl. des poulets).    - aves, quae se in mari mergunt, Cic.: oiseaux, qui plongent dans la mer.    - mersa navis omnes destituit, Curt. 4: la barque sombra et abandonna tous ses passagers.    - quis te, Palinure, deorum medio sub aequore mersit? Virg. En. 6: lequel des dieux, Palinure, t'a noyé en pleine mer?    - corpusque sub aequora mersi, Ov. M. 13: et je plongeai sous l'eau.    - mergere se in voluptates, Liv.: se plonger dans les plaisirs.    - mergi in voluptates, Curt.: se plonger dans les plaisirs.    - mergere censum domini, Plin. 9: engloutir la fortune de son maître.    - mergere aliquem malis, Virg.: plonger qqn dans un abîme de maux.    - malim istius modi mihi amicos furno mersos quam foro, Plaut.: les amis de ton espèce, je préfèrerais les voir plutôt accablés de coups que de dettes.    - vino somnoque mersi, Liv. 41: plongés dans l'ivresse et dans le sommeil.    - mergunt Pelion et templum, Val.-Flac.: ils perdent de vue le mont Pélion et le temple.    - Alexander nondum mersus secundis rebus, Liv.: Alexandre, qui n'est pas encore submergé par la prospérité.    - mersis fer opem rebus, Ov. M. 1: viens au secours de notre profonde détresse.    - mergere vultum, Sen.: baisser la tête.    - mergere lumina, Sen.: baisser les yeux.
    * * *
        Mergo, mergis, mersi, mersum, mergere. Plin. Plonger en l'eaue.
    \
        Mergere cymbas. Plin. Enfondrer les nasselles, Les mettre en fond, Faire noyer.
    \
        Pars maxima classis mergitur. Lucan. Est noyee.
    \
        Mergere vltimis suppliciis, per translationem. Pli. Noyer et envelopper aucun jusques à le faire mourir meschamment.
    \
        Mersus secundis rebus. Liu. Noyé.
    \
        Neque in hoc administrantur tutelae, vt mergantur pupilli. Vlp. Soyent noyez en debtes, Acablez de debtes.

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  • 6 mergo

    mergo, mersī, mersum, ere ( aus *mezgō zu altind. májjati, taucht unter, sinkt unter), I) tauchen, eintauchen, versenken, A) im allg.: se in flumen, Varro: se in lacus, Mart.: se in mari (v. Vögeln), Cic.: in Cocyti profunda (Ggstz. in sidera evehere), Amm.: sub aequora, Ov.: sub aequore, Ov., u. bl. aequore, Verg.: mergier undis, Iuvenc.: cinerem, ins Wasser senken, Sen. poët.: mersuras aquas, Ov.: medial, mergi, untertauchen, Ov.: u. so sol mergens (die untertauchende) stridet, Schol. Iuven. 14, 280: mergus quod mergendo in aquam captat escam, Varro LL. 5, 78. – B) insbes.: 1) (mit u. ohne in aquam) ersäufen, pullos mergi in aquam iussit, Cic.: u. so mergi iussit pullos, Liv. epit.: in profluentem mergi iubebat vel in mare, Vulc. Gallic.: aquā languidā mergi, Liv.: ad caput aquae Ferentinae mergi, Liv. – 2) ein Fahrzeug in den Wellen begraben, versenken, im Passiv = versinken, untersinken, untergehen, naves in alto, Liv. 25, 3, 11: ab hoc (vom Schwertfisch) naves perfossas mergi, würden die Sch. in den Grund gebohrt, Plin. 32, 15: itaque mersa navis omnes destituit, Curt. 4, 8 (34), 8: aequora discedunt mersā diducta carinā, Lucan. 3, 632. – als milit. t. t. = ein Fahrzeug in den Grund bohren, XXXI naves cepit, XIV mersit, Eutr. 2, 20: partem classis fugavit, partem mersit, Vell. 2, 42, 2: Graiae pars maxima classis mergitur, Lucan. 3, 753 sq. – II) übtr.: A) übh. hinab-, hineinsenken, 1) eig., hineinstecken, palmitem per iugum, Plin.: alqm ad Styga, Sen.: caput in terram effossam, Liv.: manum in ora ursae, Mart.: canes mersis in corpora rostris dilacerant dominum, Ov.: mea viscera in sua, verschlingen, Ov.: so auch ficedulas, Iuven. – medial, mergi, v. Gestirnen = untergehen, Catull. u. Ov.: v. Flüssen, mergi in Euphratem u. dgl., sich ergießen in usw., Plin. – 2) bildl., versenken, tief stürzen, alqm malis (ins Unglück), Verg.: u. so bl. m. viros, ins Verderben stürzen, Verg.: funere acerbo, Verg.: lumina somno, Val. Flacc.: mergi in voluptates, Curt.; vgl. quo avidius ex insolentia in eas (voluptates) se merserant, Liv.: mersus vino somnoque, sehr betrunken u. im tiefen Schlafe befindlich, Liv.: potatio, quae mergit, berauscht, Sen.: ut mergantur pupilli, um ihr Vermögen kommen, ICt.: censum domini mergit, er richtet das Vermögen des H. zugrunde, Plin.: u. so impendio a piscatoribus mergi, Apul.: u. ut mediocris iacturae te mergat onus, Iuven.: mergit longa atque insignis honorum pagina, Iuven.: usurae mergunt sortem, die Zinsen übersteigen bei weitem das Kapital, Liv.: mersus foro, bankrott, Plaut.: mersa et obruta fenore pars civitatis, durch Wucher tief in Schulden geraten, Liv.: nondum mersus secundis rebus, noch nicht vom Übermaße des Glückes erdrückt, Liv.: caligine mersa latent fata, in Dunkel gehüllt, Sil.: vita libidine mersa, in Üppigkeit versenkt, üppig, Sil. – mersis fer opem rebus, komm dem versunkenen Zustande, der bodenlosen Lage (der Not der Erde, deren Bewohner in der Flut versunken sind) zu Hilfe, Ov. met. 1, 380. – B) insbes., versenken = verbergen, suos in cortice vultus, Ov.: lumina, die Augen verschließen, Ps. Quint. decl.: diem od. lucem, v. der untergehenden Sonne, Sen.: caelum mergens sidera, der Westen, Lucan.: medial, utrum mergeretur Iuppiter (als Gestirn) an occĭderet, ante paucos dies didicimus, Sen. – v. zur See Fahrenden, mergunt Pelion et templum, verlieren aus dem Gesichtskreis, Val. Flacc. – / Parag. Infin. mergier, Iuvenc. 1, 385. – Metaplast. Infin. mergeri (= mergi), Vulg. (Amiat.) Matth. 14, 30.

    lateinisch-deutsches > mergo

  • 7 mergo

    mergo, mersī, mersum, ere ( aus *mezgō zu altind. májjati, taucht unter, sinkt unter), I) tauchen, eintauchen, versenken, A) im allg.: se in flumen, Varro: se in lacus, Mart.: se in mari (v. Vögeln), Cic.: in Cocyti profunda (Ggstz. in sidera evehere), Amm.: sub aequora, Ov.: sub aequore, Ov., u. bl. aequore, Verg.: mergier undis, Iuvenc.: cinerem, ins Wasser senken, Sen. poët.: mersuras aquas, Ov.: medial, mergi, untertauchen, Ov.: u. so sol mergens (die untertauchende) stridet, Schol. Iuven. 14, 280: mergus quod mergendo in aquam captat escam, Varro LL. 5, 78. – B) insbes.: 1) (mit u. ohne in aquam) ersäufen, pullos mergi in aquam iussit, Cic.: u. so mergi iussit pullos, Liv. epit.: in profluentem mergi iubebat vel in mare, Vulc. Gallic.: aquā languidā mergi, Liv.: ad caput aquae Ferentinae mergi, Liv. – 2) ein Fahrzeug in den Wellen begraben, versenken, im Passiv = versinken, untersinken, untergehen, naves in alto, Liv. 25, 3, 11: ab hoc (vom Schwertfisch) naves perfossas mergi, würden die Sch. in den Grund gebohrt, Plin. 32, 15: itaque mersa navis omnes destituit, Curt. 4, 8 (34), 8: aequora discedunt mersā diducta carinā, Lucan. 3, 632. – als milit. t. t. = ein Fahrzeug in den Grund bohren, XXXI naves cepit, XIV mersit, Eutr. 2, 20: partem classis fugavit, partem mersit, Vell. 2, 42, 2: Graiae pars maxima classis mergitur, Lucan. 3,
    ————
    753 sq. – II) übtr.: A) übh. hinab-, hineinsenken, 1) eig., hineinstecken, palmitem per iugum, Plin.: alqm ad Styga, Sen.: caput in terram effossam, Liv.: manum in ora ursae, Mart.: canes mersis in corpora rostris dilacerant dominum, Ov.: mea viscera in sua, verschlingen, Ov.: so auch ficedulas, Iuven. – medial, mergi, v. Gestirnen = untergehen, Catull. u. Ov.: v. Flüssen, mergi in Euphratem u. dgl., sich ergießen in usw., Plin. – 2) bildl., versenken, tief stürzen, alqm malis (ins Unglück), Verg.: u. so bl. m. viros, ins Verderben stürzen, Verg.: funere acerbo, Verg.: lumina somno, Val. Flacc.: mergi in voluptates, Curt.; vgl. quo avidius ex insolentia in eas (voluptates) se merserant, Liv.: mersus vino somnoque, sehr betrunken u. im tiefen Schlafe befindlich, Liv.: potatio, quae mergit, berauscht, Sen.: ut mergantur pupilli, um ihr Vermögen kommen, ICt.: censum domini mergit, er richtet das Vermögen des H. zugrunde, Plin.: u. so impendio a piscatoribus mergi, Apul.: u. ut mediocris iacturae te mergat onus, Iuven.: mergit longa atque insignis honorum pagina, Iuven.: usurae mergunt sortem, die Zinsen übersteigen bei weitem das Kapital, Liv.: mersus foro, bankrott, Plaut.: mersa et obruta fenore pars civitatis, durch Wucher tief in Schulden geraten, Liv.: nondum mersus secundis rebus, noch nicht vom Übermaße des Glückes erdrückt, Liv.: caligine mersa latent fata, in Dunkel ge-
    ————
    hüllt, Sil.: vita libidine mersa, in Üppigkeit versenkt, üppig, Sil. – mersis fer opem rebus, komm dem versunkenen Zustande, der bodenlosen Lage (der Not der Erde, deren Bewohner in der Flut versunken sind) zu Hilfe, Ov. met. 1, 380. – B) insbes., versenken = verbergen, suos in cortice vultus, Ov.: lumina, die Augen verschließen, Ps. Quint. decl.: diem od. lucem, v. der untergehenden Sonne, Sen.: caelum mergens sidera, der Westen, Lucan.: medial, utrum mergeretur Iuppiter (als Gestirn) an occĭderet, ante paucos dies didicimus, Sen. – v. zur See Fahrenden, mergunt Pelion et templum, verlieren aus dem Gesichtskreis, Val. Flacc. – Parag. Infin. mergier, Iuvenc. 1, 385. – Metaplast. Infin. mergeri (= mergi), Vulg. (Amiat.) Matth. 14, 30.

    Ausführliches Lateinisch-deutsches Handwörterbuch > mergo

  • 8 mergo

    mergo, si, sum, 3, v. a. [cf. Sanscr. madsh-, majan, to dip; Zend, masga, marrow; Germ. Mark; Engl. marrow], to dip, dip in, immerse; absol. also to plunge into water, to sink.
    I.
    Lit. (class.):

    eos (pullos) mergi in aquam jussit,

    Cic. N. D. 2, 3, 7:

    aves, quae se in mari mergunt,

    id. ib. 2, 49, 124:

    putealibus undis,

    Ov. Ib. 391:

    Stygia undā,

    id. M. 10, 697:

    prodigia indomitis merge sub aequoribus,

    Tib. 2, 5, 80:

    ab hoc (the sword-fish) perfossas naves mergi,

    Plin. 32, 2, 6, § 15:

    mersa navis omnes destituit,

    Curt. 4, 8, 8:

    mersa carina,

    Luc. 3, 632:

    cum coepisset mergi,

    Vulg. Matt. 14, 30:

    in immensam altitudinem mergi, ac sine ulla respirandi vice perpeti maria,

    Sen. Dial. 4, 12, 4:

    naves,

    Eutr. 2, 20:

    partem classis,

    Vell. 2, 42, 2:

    pars maxima classis mergitur,

    Luc. 3, 753 sq.:

    nec me deus aequore mersit,

    Verg. A. 6, 348:

    sub aequora,

    Ov. M. 13, 948; Luc. 3, 753:

    ter matutino Tiberi mergetur,

    bathe, Juv. 6, 523.— Poet., of overwhelming waters, to engulf, swallow up, overwhelm, etc.:

    sic te mersuras adjuvet ignis aquas,

    Ov. Ib. 340:

    mersa rate,

    Juv. 14, 302.—
    B.
    Transf.
    1.
    To sink down, sink in, to plunge, thrust, or drive in, to fix in, etc. ( poet. and post-Aug. prose):

    palmitem per jugum mergere, et alligare,

    to thrust, push, Plin. 17, 22, 35, § 180:

    aliquem ad Styga,

    Sen. Thyest. 1007:

    manum in ora (ursae),

    to thrust into, Mart. 3, 19, 4:

    mersisque in corpore rostris Dilacerant (canes) falsi dominum sub imagine cervi,

    Ov. M. 3, 249: fluvius in Euphratem mergitur, runs or empties into, Plin. 6, 27, 31, § 128: visceribus ferrum. to thrust into, Claud. ap. Eutr. 1, 447.—Of heavenly bodies, etc.:

    Bootes, Qui vix sero alto mergitur Oceano,

    sinks into, Cat. 66, 68.—
    2.
    In partic., to hide, conceal:

    mersitque suos in cortice vultus,

    Ov. M. 10, 498:

    vultum,

    Sen. Herc. Oet. 1348:

    diem or lucem, of the setting of the sun,

    id. Thyest. 771:

    terra caelum mergens, i. e. occidentalis, because there the sky seems to sink into the sea,

    Luc. 4, 54. —Of those on board a vessel: mergere Pelion et templum, i. e. to sail away from until they sink below the horizon:

    condere,

    Val. Fl. 2, 6.—
    II.
    Trop., to plunge into, sink, overwhelm, cover, bury, immerse, drown:

    aliquem malis,

    Verg. A. 6, 512:

    funere acerbo,

    to bring to a painful death, id. ib. 11, 28:

    mergi in voluptates,

    to plunge into, yield one's self up to sensual delights, Curt. 10, 3, 9:

    se in voluptates,

    Liv. 23, 18:

    mergit longa atque insignis honorum pagina,

    Juv. 10, 57.—Esp. in part. pass.:

    Alexander mersus secundis rebus,

    overwhelmed with prosperity, Liv. 9, 18:

    vino somnoque mersi jacent,

    dead drunk and buried in sleep, id. 41, 3; Luc. 1, 159; cf.:

    lumina somno,

    Val. Fl. 8, 66:

    cum mergeretur somno,

    Vulg. Act. 20, 9.—Esp. of those whose fortune is swallowed up in debts or debauchery: mersus foro, bankrupt, Plaut [p. 1137] Ep. 1, 2, 13:

    aere paterno Ac rebus mersis in ventrem,

    Juv. 11, 39:

    censum domini,

    Plin. 9, 17, 31, § 67:

    mergentibus sortem usuris,

    sinking, destroying his capital, Liv. 6, 14:

    ut mergantur pupilli,

    be robbed of their fortune, ruined, Dig. 27, 4, 3:

    mersis fer opem rebus,

    bring aid to utter distress, Ov. M. 1, 380.—Of drinking to excess:

    potatio quae mergit,

    Sen. Ep. 12.

    Lewis & Short latin dictionary > mergo

  • 9 campus

    [st1]1 [-] campus, i, m.: a - terrain plat, plaine; plaine cultivée, campagne, champs; toute surface unie.    - erat ex oppido despectus in campum, Caes. BG. 7, 79, 3: on avait de la ville une vue plongeante sur la plaine.    - copias ex locis superioribus in campum deducit, Caes. BC. 2, 40: il quitte les hauteurs et conduit ses troupes dans la plaine.    - molli flavescet campus arista, Virg. B. 4, 28: la campagne jaunira sous les souples épis.    - pingues campi, qui diutius continent aquam, Col. 2: les terres grasses, qui retiennent assez longtemps les eaux pluviales.    - is Divum, qui vestros campos pascit placide, Liv. 25, 12, 10: le dieu qui nourrit (protège) vos champs dans la paix.    - campi Elysii, Virg. G. 1, 38 (campi seul Virg. En. 6, 640; 887): champs Élyséens, Champs-Elysées.    - campus: plaine: [de la mer] Plaut. Trin. 834; Lucr. 5, 488; Virg. G. 3, 198, etc.; [du ciel] Ov. M. 6, 694.    - campus cereus, Titin. Com. 160: tablette à écrire. b - plaine, rase campagne.    - Caes. BG. 3, 26, 6: C. 1, 65, 2, etc.    - aperto campo: en rase campagne.    - numquam in campo sui fecit potestatem, Nep. Ages. 3, 6: jamais il n'accepta le combat en rase campagne.    - insistere Bedriacensibus campis, Tac. H. 2, 70: fouler les plaines de Bédriac [le sol du champ de bataille]. c - place [dans la ville de Rome].    - campus Esquilinus, Cic. Phil. 9, 17: champ Esquilin.    - campus Agrippae, Gell. 14, 5, 1: champ d'Agrippa.    - campus Martius, ou abst campus: le champ de Mars.    - non in campo, non in foro, non in curia pertimescemus, Cic. Cat. 2, 1: nous ne tremblerons plus ni au Champ de Mars, ni au forum, ni à la curie.    - comitiis in Campo quotiens potestas fuit! Cic.: combien de fois à l'occasion des comices le pouvoir fut sur le Champ de Mars!    - sit sane Fors domina campi, Cic. Pis. 2: le hasard règne sur le Champ de Mars, je le veux.    - lieu des comices non in cunabulis, sed in campo consules facti, Cic. Agr. 2, 100: consuls élus non pas au berceau, mais en plein Champ de Mars.    - dies campi, Cic. Mil. 43: le jour du Champ de Mars [le jour des comices].    - campum appellare pro comitiis, Cic. de Or. 3, 167: dire champ de Mars au lieu de comices.    - lieu de promenade, de jeu, d'exercices militaires Cic. Fin. 1, 69; Fat. 34; Off. 1, 104, etc.; Hor. O. 1, 8, 4 ; Ep. 1, 7, 58, etc. d - champ libre, large espace (carrière, théâtre).    - nullum vobis sors campum dedit, in quo excurrere virtus posset, Cic. Mur. 18: le sort ne vous a pas donné un champ d'action où pût se déployer votre talent.    - magnus est in re publica campus, Cic. Phil. 14, 17: il est vaste le champ qui s'offre dans la vie politique.    - hinc rhetorum campus de Marathone, Salamine, Plataeis... Cic. Off. 1, 61: de là le vaste champ qu'offrent aux orateurs Marathon, Salamine, Platées... [st1]2 [-] campus, i, m.: le cheval marin, hippocampe. --- Mart. 9, 43, 1.    - c. hippocampus.    - [gr]gr. κάμπος.
    * * *
    [st1]1 [-] campus, i, m.: a - terrain plat, plaine; plaine cultivée, campagne, champs; toute surface unie.    - erat ex oppido despectus in campum, Caes. BG. 7, 79, 3: on avait de la ville une vue plongeante sur la plaine.    - copias ex locis superioribus in campum deducit, Caes. BC. 2, 40: il quitte les hauteurs et conduit ses troupes dans la plaine.    - molli flavescet campus arista, Virg. B. 4, 28: la campagne jaunira sous les souples épis.    - pingues campi, qui diutius continent aquam, Col. 2: les terres grasses, qui retiennent assez longtemps les eaux pluviales.    - is Divum, qui vestros campos pascit placide, Liv. 25, 12, 10: le dieu qui nourrit (protège) vos champs dans la paix.    - campi Elysii, Virg. G. 1, 38 (campi seul Virg. En. 6, 640; 887): champs Élyséens, Champs-Elysées.    - campus: plaine: [de la mer] Plaut. Trin. 834; Lucr. 5, 488; Virg. G. 3, 198, etc.; [du ciel] Ov. M. 6, 694.    - campus cereus, Titin. Com. 160: tablette à écrire. b - plaine, rase campagne.    - Caes. BG. 3, 26, 6: C. 1, 65, 2, etc.    - aperto campo: en rase campagne.    - numquam in campo sui fecit potestatem, Nep. Ages. 3, 6: jamais il n'accepta le combat en rase campagne.    - insistere Bedriacensibus campis, Tac. H. 2, 70: fouler les plaines de Bédriac [le sol du champ de bataille]. c - place [dans la ville de Rome].    - campus Esquilinus, Cic. Phil. 9, 17: champ Esquilin.    - campus Agrippae, Gell. 14, 5, 1: champ d'Agrippa.    - campus Martius, ou abst campus: le champ de Mars.    - non in campo, non in foro, non in curia pertimescemus, Cic. Cat. 2, 1: nous ne tremblerons plus ni au Champ de Mars, ni au forum, ni à la curie.    - comitiis in Campo quotiens potestas fuit! Cic.: combien de fois à l'occasion des comices le pouvoir fut sur le Champ de Mars!    - sit sane Fors domina campi, Cic. Pis. 2: le hasard règne sur le Champ de Mars, je le veux.    - lieu des comices non in cunabulis, sed in campo consules facti, Cic. Agr. 2, 100: consuls élus non pas au berceau, mais en plein Champ de Mars.    - dies campi, Cic. Mil. 43: le jour du Champ de Mars [le jour des comices].    - campum appellare pro comitiis, Cic. de Or. 3, 167: dire champ de Mars au lieu de comices.    - lieu de promenade, de jeu, d'exercices militaires Cic. Fin. 1, 69; Fat. 34; Off. 1, 104, etc.; Hor. O. 1, 8, 4 ; Ep. 1, 7, 58, etc. d - champ libre, large espace (carrière, théâtre).    - nullum vobis sors campum dedit, in quo excurrere virtus posset, Cic. Mur. 18: le sort ne vous a pas donné un champ d'action où pût se déployer votre talent.    - magnus est in re publica campus, Cic. Phil. 14, 17: il est vaste le champ qui s'offre dans la vie politique.    - hinc rhetorum campus de Marathone, Salamine, Plataeis... Cic. Off. 1, 61: de là le vaste champ qu'offrent aux orateurs Marathon, Salamine, Platées... [st1]2 [-] campus, i, m.: le cheval marin, hippocampe. --- Mart. 9, 43, 1.    - c. hippocampus.    - [gr]gr. κάμπος.
    * * *
        Campus, campi. Un champ, Une plaine.
    \
        Campus. Caesar. Une grande estendue de terre, Une campaigne.
    \
        AEquor campi. Virgil. La plaine d'un champ.
    \
        AEquo campo se dare. Virgil. Se mettre en la campaigne.
    \
        AEstiferi campi. Sil. Qui endurent grandes chaleurs.
    \
        Euersus campus. Valer. Flac. Champ labouré.
    \
        Frequens herbis campus. Virgil. Herbu.
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        Gramineus campus. Virgil. Herbu.
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        Herbosus. Horat. Herbu.
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        Iners campus. Sil. Qui ne porte point de fruict.
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        Liquentes campi. Virgil. La mer.
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        Mersus campus cruore. Sil. Abbrevé de sang.
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        Natantes campi. Virgil. Quand les bleds d'un champ sont grans, et le vent souffle, ils vont puis ca puis là ondoyans et comme nageans.
    \
        Nudi campi. Ouid. Esquels n'y a rien ne semé ne planté.
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        Pigri campi. Horat. Froids.
    \
        Planus campus. Lucret. Plain et uni.
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        Rudis. Virgil. Qui n'a point encore esté labouré.
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        Segnis. Virgil. Paresseux à porter fruict.
    \
        Tauriferi campi. Lucan. Esquels naissent et paissent ordinairement beaucoup de toreaulx.
    \
        Aspirare in campum. Cic. Tascher à y venir.
    \
        Circunuolare campum iaculo. Sil. Courir tout au tour du champ avec un dard.
    \
        Consternere campos milite. Sil. Les couvrir de gensdarmes.
    \
        Corripere campum. Virg. Prendre sa course dedens le champ.
    \
        Credere campo aciem. Virgil. Mettre l'armee en plain champ pour combatre.
    \
        Dare se campo. Sil. Se mettre en la campaigne pour combatre.
    \
        Errare campis. Virgil. Vaguer parmi les champs.
    \
        Iacet tantum campi. Virgil. Il y a tant de terre deserte et non labouree.
    \
        Inferre se campo. Virgil. Entrer dedens le champ du combat.
    \
        Obstruere campos. Lucan. Boucher, Estouper à fin qu'on n'y passe point.
    \
        Partiri campum limite. Virgil. Borner un champ.
    \
        Perlabi campum. Sil. Courir parmi un champ.
    \
        Persultat campos exercitus. Tacitus. Fait des courses par les champs.
    \
        Proscindere campum ferro. Ouid. Labourer.
    \
        Redundare campis. Lucret. Quand une riviere se desborde et se respand parmi les champs.
    \
        Refluit campis. Nilus. Virgil. Recoule, et se retire des champs en son fossé et cours ordinaire.
    \
        Relaxare campum. Sill. Eslargir, ou esclarcir la foule, Rompre la presse de ceulx qui estoyent dedens le champ, et se faire place en les chassant.
    \
        Tondere campum dicuntur equi. Virgil. Quand ils paissent l'herbe du champ.
    \
        Campus. Cic. Un grand champ pres des murs de Rome, ou le peuple s'assembloit pour les affaires publiques. Subaudiendum autem Martius.
    \
        Campus. Cic. Le camp et le lieu ou un chascun de quelque estat qu'il soit, exerce son estudie.
    \
        Prosternitur materies et campus tuis laudibus. Plin. iunior. Est preparee et apprestee. Vide PROSTERNO.

    Dictionarium latinogallicum > campus

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